Voilà Aki [ Quelqu'un de validé XD]

Voilà le jour de son transfert sur l'île.. Aki n'était ni angoissé ni triste. Il se fichait bien de se retrouver sur une île pleine de dingues, de meurtriers ou de je-ne-sais-quoi d'autre. Le jeune homme était assez fort et intelligent pour ne pas avoir peur. De toute les manière, qui ferait du mal à quelqu'un d'aussi beau? Aki avait été transporté jusqu'au port par deux policiers qui avait plutôt l'air de p'tit gringalets qu'autre chose. Aki aurait largement pu s'enfuir s'il l'avait réellement désiré. Mais pourquoi l'aurait-il fait? Qui est-ce qui l'attendait? Personne, à part peut-être Itsuka qui ne s'occupait plus de lui depuis qu'elle avait eut son propre bébé. Aki haussa les épaules en pensant à cela. Peu importait. Il resta songeur jusqu'a ce qu'il arrive au port, pas un mot de sortait de sa bouche, pas une expression n'apparaîssait sur son visage. Et son père ainsi que sa mère étaient trop occupé pour lui dire aurevoir à jamais. Une fois sur le bateau et avec toutes ses affaires (c'était une des 'bonnes choses' de la prison: pourvoir garder ses affaires) il attendit patiemment. Aki n'était pas du genre à s'impatienter, et puis de toute façon, il n'était pas en position de le faire, et il le savait bien. Une fois débarqué, il se retourna une dernière fois vers son passé pour s'apperçevoir que le bateau repartait déjà. Aki détailla donc son nouvel environnement pour se rendre compte que pour l'instant, il était seul. Bien sûr il ne s'attendait pas à un comité d'accueil mais bon... Aki s'assit sur l'une de ses valises et commenca à déballer sa tablette de chocolat.

"Quelle m*rde..."

Murmura-t-il avant de croquer dans le chocolat.

- Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 23/03/2007

Après cette affreuse soirée, Sakai n'avait plus eu aucune idée de ce qui allait lui arriver. Plusieurs accusations, des interrogatoires, des nuits dans l'une des seules cellules de son quartier puis le regard honteux de ses parents... Lui, celui qu'il espérait voir plus que tout, il n'était même pas venue le voir une seule fois... Il s'était contenté d'un coup de fil des plus banals lui avouant qu'il avait été déçue de son acte, qu'il était à la fois désolé mais préférait tout oublier. Il n'avait même pas cherché à comprendre. Puis enfin, on sue ce qu'on allait faire de lui. Un seul policier le raccompagnait. Il en valait bien d'eux pourtant, quoi que pas très grand, il semblait avoir une force qu'on ne pouvait imaginer. Sakai ne pensa pas un seul instant à tenter de s'enfuir, ni même de dire quoi que ce soit. De toute façon, plus rien ne l'attendait. Mis-à-part la honte de tout ceux qui le connaissaient.

Sakai semblait maintenant être dans un état second. C'était à peine si ses pieds avançaient l'un après l'autre et le policier responsable avait toute les misères du monde pour le débarquer hors du bateau. Lui il n'en avait rien à faire de ce maudit policier de toute façon, il n'avait pas envie de se retrouver là. On lui laissa ses deux valises, juste à ses pieds, puis le policier repartit, le laissant seul. Enfin seul... Sakai remarqua que tout compte fait, il ne l'était pas réellement. Un autre jeune homme était là, un peu plus loins, bien installé sur ses valises à manger. Un prisonnier? pensa-t-il. Ça aurait été surprenant, à le voir comme ça... Bien qu'il aurait été difficile de voir un criminel, etm ême un meurtruer chez la personne qu'était Sakai. Il observa celui-ci un instant, puis réalisa le départ du bateau et du policier, comme s'il venait tout juste de se réveiller d'un horrible cauchemar. Il ne bougea plus, n'avança même pas, restant planté là, debout et silencieux, comme s'il attendait qu'on vienne le chercher, tout simplement.

Aki était là, savourant sa tablette de chocolat. Il en aurait miaulé tant il aimait cela ; manger du chocolat. C’était donc vrai que le chocolat pouvait devenir une drogue. En tout cas, on ne l’avait pas privé de chocolat, cela lui évitera d’être agressif avec tout le monde. En parlant de monde, quelqu’un d’autre avait débarqué. Ils «étaient rapides ici…Aki sourit au premier moment, mais son sourire se crispa. Et soudain un grand dilemme le prit : premier choix : soit il finit son chocolat et va voir le garçon (et comme ça, il n’a pas à lui en proposer XD), soit il va le voir et il lui propose du chocolat, soit il ne va pas le voir et fondamentalement, il ne lui propose pas de chocolat. Arwh...Compliqué ce choix. Bon aller, on va pas chipoter pour du chocolat…Oui mais…

*Bon! Maintenant ca suffit! Tu vas le voir et tu lui propose du chocolat ! Non mais, t’es plus un gosse!*

Se dit Aki pour se raisonner. Non mais c’est vrai quoi, tout ca pour chocolat… Et puis il n’allait pas se faire un ennemi dès son arrivée. Mieux valait se faire des amis. Et quoi de mieux que du chocolat pour se faire un ami ? Rah ! Ca virait à l’obsession maintenant ! Bref. Aki leva donc son modeste postérieur de sa valise et se dirigea de son pas nonchalant, accompagné de son attitude négligée vers le jeune qui lui, n’avait rien de négligé. Aki ne se gêna pas pour le détailler une fois face à lui. Il sortit sa main libre de sa poche et la tendit au jeune homme :

« Aki Tokigawa. Enchanté. »

Si le jeune homme avait eut des doutes quant au fait qu’Aki soit vraiment un prisonnier, il ne devait plus en avoir à présent. En effet, l’affaire Tokigawa, comme l’avait appelée les médias, avait été à la une de pratiquement tout les journaux au moins une fois. Alors à moins que le beau jeune homme ne lise pas… Oh, et s’il avait peur d’Aki ? Non pas possible, s’il était là, c’était soit parce qu’il était lui aussi un prisonnier, auquel cas il ne serait pas très blanc lui aussi, ou alors parce qu’il était gardien et dans ce cas ci, il devait savoir à quoi s’attendre. Sa main toujours tendue, son regard toujours vissé à celui de son vis-à-vis, Aki mordit à nouveau dans sa tablette sans rien ajouter de plus. Il devait être sacrement agaçant tout de même, l'Aki…

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Sakai était toujours aussi concentré dans sa contemplation du sol, le temps ne comptant à peu près plus pour lui. De toute façon, il devait être long celui-là en prison… C’est pourquoi ces moments où il semblait partir très loin au plus profond de ses pensées pourtant vides, ne le dérangeait plus dans cet endroit remplie de personnes plus bizarres les une que les autres qui avaient tous quelque chose à se reprocher. Il leva brusquement la tête en entendant une voix inconnue. Il avait complètement oublié la présence d’un second prisonnier, probablement, et n’avait jamais pensé ou eu l’intention de lui parler. Il leva les yeux qu’il posa sur ce visage, quelques centimètres plus haut du sien. Ce visage ne lui disait absolument rien, mais ce nom… Il l’avait entendue quelque part, il en était persuadé. Il regarda la main que lui tendait le dénommé Aki, la sienne s’approchant peu à peu pour aller la serrer, mais s’arrêta brusquement dans son geste.

Son regard n’était pas plus posé sur la main tendue, mais à nouveau sur ce visage finalement pas si inconnue… On avait parlé de cette personne pendant quelques longues journées un peu partout au Japon… Et on l’envoyait sur la même île que lui? Dans la même prison? Impossible… Il se tenait même devant lui qui lui tendait la main en ce moment, comme s’il s’agissait d’un endroit sympa où on faisait connaissance avec des gens possédant à peu près les mêmes goûts pour les crimes et les gros bras. Pourtant, ce Aki ne semblait n’avoir rien de bien méchant… Une bouille d’ange au sommet d’un grand corps d’adolescent. Pas un criminel. Mais Sakai avait lui-même changé, et ça, il ne le voyait plus. Devant lui se tenait un meurtrier. Lui aussi en était un, mais il ne tendrait pas la main à un autre criminel.

Sa main s’empara malgré tout de la main du prisonnier, mais ce n’était pas un geste amical… Loin de là. Il y a quelques semaines, Sakai avait découvert sa force qui semblait être caché en lui depuis des années. Alors pourquoi ne pas s’en servir? Il serra violemment la main du jeune homme, l’épargnant malgré tout pour ne pas commettre le geste fatale qui risquait de lui casser le bras, puis le repoussa brusquement avec une mine dégoûtée.

Je sais très bien qui tu es. Mais ce serai te mentir que de dire que je suis enchanté de te rencontrer.

Aki ne comprit pas tout de suite pourquoi le jeune homme arrêta brusquement d’approcher sa main de la sienne. Quel idiot : Il n’aurait tout simplement pas du dire son nom. En attendant, Aki ne l’avait toujours pas baissée, on se demandait bien pourquoi. Bien sûr qu’Aki n’avait rien de méchant. Et la qualification de « bouille d’ange sur un corps d’adolescent » lui allait à merveille. Aki l’observa avec un amusement bien dissimulé tandis que le jeune homme avait l’air d’hésiter. Et puis soudain, il n’hésita plus du tout et lui attrapa la main, oui, mais pour la lui broyer. Aki fit une petite grimace de douleur. Non mais c’est quoi ce type ? Voilà ce qui passa par la tête d’Aki. Le jeune homme fit une sorte de moue de mécontentement lorsqu’il se fit repousser en arrière, manquant d’ailleurs de se casser la figure, parce qu’il avait beau avoir un équilibre sans pareil, quand on le prenait comme ça, par surprise, c’était pas le top. Aki fronça les sourcils. Heureusement, sa tablette de chocolat était intacte, enfin ce qui en restait l’était. Alors, tandis que son méchant vis-à-vis lui dit cette Ô combien agréable phrase, il mordit comme si de rien n’était dans le chocolat. En fait, Aki avait l’air d’ignorer totalement ce qui disait l’autre. Cependant il n’en était rien, et il ne loupait pas une miette de ce qui se prononçait. C’est alors qu’Aki fit un petit sourire, bien loin du sourire mignon qu’il aimait faire aux personnes qui provoquaient en lui une certaine sympathie, son sourire actuel était plutôt un sourire carnassier, mais mélangé à un sourire sarcastique. Sa voix assez grave se fit alors entendre tandis qu’il répliquait :

« Je ne me savais pas si répugnant. Mais sais-tu, très cher, que si tu es là, c’est que tu as toi-même quelque chose à te reprocher ? »

Il marqua une pause, le temps de finir son chocolat, dont il froissa l'embalage en aluminium pour en faire un boule. Il le lança au-dessus de l’épaule de l’autre prisonnier, par pur provocation. La boulette tomba dans l’eau tandis qu’Aki reprenait, après avoir avalé :

« En outre, je peux affirmer que ce que j’ai fait n’était pas si terrible, ils l’avaient bel et bien mérité. »

Aki soupira, parler de ça l’irritait. De toute façon, pour lui, il avait eu raison et puis c’était tout. Il fit craquer ses doigts, qui avaient malheureusement eut un petit ‘choc’. Un être capable de faire cela dès la première rencontre, c’ était pas non plus un modèle pour la société. Alors Aki ajouta, toujours avec cet ait d’aristocrate distingué qu’il avait depuis tout jeune :

« Puis-je connaître ton nom, que je sache, moi aussi, a quel genre de criminel j’ai affaire ? »

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Les gestes de Sakai semblaient avoir surprit son interlocuteur. Tant mieux, peut-être allait-il recevoir quelques traitements de faveur dans cet endroit affreux s’il se faisait respecter dès son arrivé. Par contre, le sourire avec lequel lui répondit Aki n’avait rien de très sécurisant. Ce n’était pas une preuve du respect qu’il lui portait, c’était évident. Lorsque sa voix s’éleva, le laissant assimiler chacune de ses paroles. Bien sûr qu’il y avait une raison qui justifiait sa présence ici. Par contre, on en avait pas parlé beaucoup dans les journaux et à la télévision. Pas assez pour être un criminel bien connu. Il était tout simplement vu comme un jeune étudiant en crise d’adolescence qui réagit mal face à certaines situations jusqu’à ne plus contrôler sa colère. Lui, il n’avait perçue son acte que comme une simple réaction de défense. C’était lui ou elle, puis ça avait été une erreur qu’il n’avait pas sue prouver. Les gens n’écoutent pas, ou alors, ils n’écoutent que ceux qui les intéressent réellement, donc pas lui.

Sakai tourna la tête quelques secondes vers le papier qui venait d’être lancé juste au dessus de lui. De la provocation? Ça partait très mal car maintenant, il n’arrivait plus, ou très difficilement, à se retenir face à ce genre de comportement. On le provoquait, il était donc normal qu’il y réponde. Son regard se reposa une nouvelle fois sur Aki, qu’il fixait intensément, différemment de l’indifférence que lui portait celui-ci. Tout les criminels le disaient ça, ceux qu’ils avaient tué le méritait, tout simplement. N’importe quoi… Sakai lui, s’il avait pu éviter la mort de la jeune fille, il n’aurait pas hésité. Il n’aimait pas du tout la façon dont son interlocuteur d’adressait à lui. Apparemment, celui-ci ne regrettait rien de ce qu’il avait fait et en semblait même un peu fier… Il haussa un sourcil à sa question, ne répondant pas directement sur le moment. Il avait quelque chose à préciser, et c’est en reprenant son air dédaigneux qu’il le fit.

D’abord, je ne suis pas un criminel. Aux yeux des gens si, mais pas en réalité. La preuve, tu ne me connais probablement pas, toi qui a été arrêté juste un peu avant moi, tu jouais les coupable à ce moment là. Sakai Kiroaki.

Le prisonnier n’aimait pas la façon dont Aki lui parlait ? Tant mieux. D’ailleurs Aki n’avait pas peur que son vis-à-vis réponde à sa provocation. Mais attention, l’autre se trompait, Aki n’éprouvait pas de fierté d’avoir tué Tsuki et l’autre. Juste qu’il n’éprouvait aucun regret et qu’il pensait sincèrement qu’ils l’avaient bien mérité. Elle l’avait trahis, il s’était vengé. Rien de plus, rien de moins. Après, on pouvait bien le trouver répugnant, fou, ou tout ce qu’il voulait, tant pis. Aki haussa un sourcil en apercevant l’air dédaigneux de celui qui se prénommait Sakai. Tiens donc, mais il avait entendus parler de lui quand il était dans sa première prison. Il se souvînt qu’il avait trouvé ce type idiot. D’ailleurs, le rencontrer ne faisait que renforcer son opinion. Aki haussa les épaules et se dirigea de sa démarche habituelle, le dos voûté, vers ses valises, là, il attrapa la plus petite : un sac de sport et il en sortit une sucette. L’accro au sucre avait allègrement tourné le dos à l’autre prisonnier et lui avait mis, ce qu’on appelle communément « un vent ». Il déballa sa sucrerie et l’enfourna dans sa bouche avant de se retourner vers Sakai. Il sortit la sucette de sa bouche pour ensuite lui dire, comme si il lui disait un truc du genre « il pleut » :

« Tu es un criminel. A partir du moment où l’on t’a reconnu coupable, c’est que tu es un criminel. Ce n’est pas la peine de te trouver des excuses. Quant à moi, je ne jouais pas le coupable, puisque je suis le coupable. Je n’en ai aucunement honte, quand on considère la raison pour laquelle j’ai fait…Ce que j’ai fait. »

Il marqua une petite pause, le temps de léchouiller sa sucette avant de dire :

« Je ne sais vraiment pas ce que les médias ont dis de mon…Crime. Cependant, si tu sais pas toute l’histoire, tais toi. Sakai…Kiroaki. »

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Sakai croisa les bras en en apercevant l'autre jeune prisonnier s'éloigner vers ses valises, comme s'il n'avait absolument rien dit. Il fronça une nouvelle fois légèrement les sourcils, se demandant qui avait pue mettre au monde un enfant si bizarre où sa place ne pouvait décidemment être qu'en prison. Il revint finalement vers lui, une sucette en bouche. Apparemment, il était le genre de personne qui au quotidien, avait besoin de sa dose de sucre. Sakai avait déjà une bonne idée de la maladie qui attendait probablement Aki, qui avait malgré tout la chance de rester à peu près mince avec la quantité de suvre qu'il semblait consommer en une seule journée.

Après ce qu'il lui dit, des paroles qui prouvaient parfaitement bien que son interlocuteur acceptait facilement le fait qu'il soit un criminel, Sakai eu envie de lui faire avaler sa sucette par un bon coup de poing. Avant, qu'on s'adresse à lui de cette façon ne lui aurait absolument rien fait. Mais maintenant, ça devenait beaucoup plus irritant et insuportable. On ne lui demandait pas de se taire s'il voulait parler, et on l'obligeait encore moins... Plongeant ses yeux dans ceux du noirou, il s'avança sur celui-ci, rapprochant son corps du sien sans pour autant le coller, juste pour être assez près et faire ce qu'il avait l'intention de faire... Lui piquer sa sucette. Sa main s'avança brusquement vers celle de Aki près de ses lèvres, s'emparrant du bonbon avec une rapidité incroyable pour ensuite la porter à ses propres lèvres, sans dédain.

Tu as bien raison... Aki, je suis un criminel.

Avec un sourire provocateur, il lui tourna le dos, empoignant ses propres valises pour s'éloigner lentement, dégustant le bonbon volé.

[Ca c'était vraiment un crime XD]

Tiens donc ? Sakai avait une idée de la maladie d’Aki ? S’inquiéterait-il pour lui ? Non, bien sur que non ^^. En attendant, Aki avait la chance de pas grossir, quoi qu’il puisse avaler. De plus, faire marcher son cerveau permet aussi de rester mince. Eh bien oui, Aki avait bien conscience d’être un criminel et d’ailleurs pour lui, c’était le passé, il ne servait en rien de revenir dessus. Faire avaler sa sucette à Aki ? Comment pouvait-on avoir ce genre de penser à l’égard de la bouille d’Aki. C’est un truc qui nous dépasse [Oui, oui, la narratrice avec ^^’]. M’enfin, Sakai n’en fit rien, tant mieux. Aki haussa un sourcil en voyant s’approcher Sakai. Son charme avait-il encore frapper ? Ce ne serai pas…QUOI ? ! Il avait osé ! Aki avait vu sa précieuse sucette s’en aller de sa main pour se retrouver dans celle de son interlocuteur et…Dans sa bouche. Il en aurait presque grogner. Aki resta un petit moment sans bouger, comme choqué. Comment avait-il osé ? Il jeta un regard noir au dos de Sakai.

*Je vais le tuer! >_<*

Se dit-il avec une colère grandissante tandis que l’autre s’en allait. Que faire…Soit il se mettait à courir pour lui sauter dessus, soit il ne bouger pas et prendrait sa revanche un autre coup. Il observa le fourbe s’en aller lentement. Serrant les poings.

« Je me vengerai.»

Grommela-t-il Cependant il ne bougea pas de sa place. Aki ne voulait pas se mettre à courir. Il se retourna et de son sac il sortit une autre sucette mais…En fait il changea d’avis et pris une tablette de chocolat. Histoire de se calmer un peu. Alors il empoigna sa valise et partit dans la direction opposée de Sakai. Ne pas se faire d’ennemis dès l’arrivée…Trop tard. Maudit Sakai, il avait réussit à le mettre de mauvaise humeur >_<.