Satoshi Kuraï x. Little Angel .x

Informations générales :

Nom :
Kuraï
Prénom :
Satoshi
Sexe :
Ah, ah, bonne question. Sat’ aime semer le trouble dans les esprits avec son physique androgyne, mais c’est bel et bien un garçon.
Date de naissance :
Le 1 er Avril.
Lieu de naissance :
Tokyo.
Âge :
18 ans.
Tendance :
Sat’ est homosexuel.

Description :

Physique :

« Hey, dis… t’es sûr que c’est un mec ? »

Ah ! ce qu’il a pu l’entendre, cette question, posée par des élèves guère discrets qu’il croisait dans les couloirs de son collège, puis de son lycée. En effet, Satoshi ressemble plus à une fille qu’à un garçon.
Il est petit – 1.60 – et maigre – 40 Kg – son aspect chétif le rend encore plus féminin. Il n’est presque pas musclé, à part un peu d’abdos, il n’a vraiment pas grand-chose. Mais à vrai dire, il s’en moque. Il n’a jamais souhaité être un gros tas de muscles ambulants et s’aime tel qu’il est.

Son torse est donc finement musclé, parfaitement bien proportionné par rapport au reste de son corps. Sa peau est pâle, si pâle que l’on peut apercevoir les veines bleues qui parcourent son torse. Sa peau est aussi douce que la pêche, brillante, et lorsqu’il revient de vacances au soleil, elle est légèrement dorée.
Ses bras sont maigres et se terminent par des mains délicates, à la peau pâle et douce. Ses doigts sont longs et fins.

Les épaules de Satoshi ne sont guères musclées, et pourtant, elles semblent porter toute la misère du monde, tant le jeune homme a tendance à se tenir voûté. On peut trouver un papillon tatoué sur l’omoplate droite de Sat’, il se l’est fait faire il y a deux ans. Ce tatouage est très important pour lui, car son père adorait les papillons. Cela peut sûrement sembler étrange, de la part d’un homme, mais le père de Satoshi aimait beaucoup ces petits insectes.
Ces dernières années, il est rare de voir le jeune Nippon se tenir droit. Il semble toujours recroquevillé sur lui-même, comme s’il souhaitait se protéger. C’est dommage, car lorsqu’il se tient bien droit, cela marque encore plus la cambrure de son dos qui est, on ne peut le nier, vraiment sexy !

Ses fesses sont une véritable pièce de collection V____v Non sérieusement, j’ai pas arrêté de dire que Satoshi était un sac d’os tout pâle, alors faut bien que je le remonte un peu !
Donc, les fesses de Sat’. Petites, rondes, musclées comme il faut. Il a de quoi être fier de ses fesses <3.

Satoshi n’est certes pas un modèle de virilité masculine. En effet, il ressemble plus à une poupée de porcelaine. Ses longs cheveux noirs de jais sont souvent coiffés en un chignon élégant, ou simplement retenus par une barette, laissant ainsi quelques mèches caresser sa nuque. Il est rare de le voir les cheveux détachés, mais cela devient plus fréquent. A vrai dire, il se cache derrière.
Il possède une peau extrêmement pâle, mais cela renforce l’illusion poupée de porcelaine. Ainsi, lorsqu’il rougit, cela se voit tout de suite, et ça le rend vraiment très mignon ! Les yeux de Sat’ sont aussi noirs qu’une nuit sans lune et sans nuages. La métaphore qui dit que les yeux sont les miroirs de l’âme est particulièrement véridique lorsqu’il s’agit de Satoshi. En effet, ces yeux sont les reflets de ses émotions.

Son nez est fin, aquilin. Ses lèvres ont un dessin très féminin, elles sont roses et pulpeuses, telles deux pétales de roses. Sa lèvre inférieure est percée, sur le côté droit.

Autant avant, Satoshi aimait porter des vêtements moulants, provoquants même, qui le mettaient en valeur. Mais maintenant, c’est tout le contraire. Il a eu une période ou il ne portait que des tee-shirts informes et des pantalons trop larges pour lui, comme s’il voulait se cacher. C’est toujours le cas, même si maintenant, il a plutôt tendance à porter des kimonos. Rien que pour ça, toutes les personnes qui ne le connaissaient pas et qu’il a croisé l’ont pris pour une fille !

Mentale :

« Qu’est-ce qu’y fiche en taule, c’suis là ? »

Oui, cela résume plutôt bien la situation. En effet, c’est une très bonne question. Qu’est-ce qu’un garçon comme Satoshi fait en prison ? Il n’a rien d’un tueur en série, d’un type violent, ni même d’un garçon aux besoins compulsifs de faire couler le sang.

Satoshi est un jeune homme extrêmement timide. Il n’ose pas aborder les gens, ne serait-ce que pour un renseignement, et c’est limite s’il regarde les personnes qui lui adressent la parole. Cette timidité a toujours fait partie de son caractère. Il est comme ça depuis tout petit, même si avant, il essayait d’aller vers les autres, de faire des efforts, alors que maintenant, il fuit. Il n’aime pas devoir s’imposer, ou montrer qu’il est là, et préfère faire comme s’il était une plante. Voilà, une jolie plante verte qui embellit la pièce mais que personne ne voit vraiment.

Il a toujours peur de mal faire, c’est d’ailleurs pour cela qu’il n’entreprend rien. Lorsqu’il était à l’école, de la maternelle au lycée, il ne prenait jamais d’initiatives, et avait tendance à suivre les autres, un peu comme un mouton de panurge. Même s’il n’est pas d’accord avec une personne, il n’osera pas lui dire, de peur de blesser, ou vexer. Ou encore pire, de contrarier la personne en question. A chaque fois, avant un examen, ou lorsqu’on lui demandait de faire un travail quelconque à la maison, ou encore, le pire, si on lui demandait de passer devant toute sa classe pour parler, il paniquait. Il devenait tout pâle, puis tout rouge, tremblait comme une feuille et finissait souvent par tourner de l’œil. Pour les exams, il passait des heures et des heures à réviser, au point de tomber de sommeil devant sa copie.

Satoshi ne supporte pas l’injustice. C’est quelque chose qui le rend malade. Il suffit qu’une personne se fasse punir pour quelque chose qu’elle n’a pas fait, pour qu’il se mette à pleurer. A vrai dire, il est traumatisé par l’humiliation qu’il a subie.
Il a peur des juges et des policiers, même les avocats lui foutent les boules, depuis son procès. Il ne supporte pas d’en voir un, il devient hystérique et pourrait être capable de faire quelque chose de mal.
Une autre phobie de Sat : l’obscurité et les endroits étroits et clos. N’essayez pas de l’enfermer dans le noir, il pourrait se tailler les veines avec les ongles pour échapper à cet enfer. D’ailleurs, il risque d’avoir du mal de tenir dans la prison…

Une autre chose que Satoshi ne supporte plus : les contacts physiques. Ne serait-ce que pour lui serrer la main. Essayez de le frapper, et il se recroquevillera en boule, tremblant de peur. Pour ce qui est des… hum, autres contacts physiques, ce n’est même pas la peine de penser être sur le point d’y songer, voyez-vous… En gros, même pas en rêve. Un viol risquerait d’atteindre sérieusement Satoshi, et pas seulement physiquement. Il est traumatisé, et ne supporte plus qu’on l’approche.

Like : Satoshi adore tout ce qui est sucré. Les bonbons, le chocolat – surtout le chocolat – les sucettes… Il lui arrive souvent de grignoter entre les repas, d’ailleurs. Satoshi boit beaucoup de café et thé. Très sucré de préférence. Il aime les trucs doux. Les peluches, les vêtements. Même s’il n’aime pas qu’on le touche, si par hasard il frôle une personne avec une peau très douce, il s’émerveillera devant pendant des heures. D’ailleurs, Satoshi possède une espèce de peluche particulièrement immonde, du nom de Crabouille, depuis qu’il a deux ans. Il l’adore, tout simplement parce qu’elle est toute douce et parce que c'est un cadeau de son père ! Il la garde toujours avec lui.
Il aime beaucoup lire, écrire, tout en écoutant de la musique. C’est une activité calme et pas très risquée. Avant, il montait beaucoup à cheval avec son père, et faisait de la danse, mais il a arrêté toute activité sportive à l’âge de dix ans.

Dislikes : Satoshi déteste sa mère et son beau-père, il n’aime pas les choses acides, ou tout ce qui pique. Il ne supporte pas les contacts physiques. N’essayez pas de l’emmener au tribunal, ni même de lui en montrer un en photo.
Il déteste les personnes qui disent du mal de son Crabouille – sachez qu’il l’a emporté avec lui – d’ailleurs, sa mère a déjà essayé de le jeter, il est allé le récupérer dans la poubelle !

HRP :

Liens avec un personnage du forum : Aucun, pour le moment, mais si ça intéresse quelqu’un de créer un personnage que Sat’ aurait connu avant d’atterrir sur l’île, pas de problèmes !
Personne sur l'avatar : Miyavi --'
Le mot de la fin :

"Je ne suis pas fou !"
"Oui, bien sûr, et maintenant, tu vas me dire "j'ai pas fait exprès !" comme quand tu étais petit et que tu cassais un verre."
"ç____ç J'ai pas fais exprèèèèèèèèèès !"
"Qu'est-ce que je disais..."
"Ta gueule, tu fais chier >.<' "
"Satoshi ! Je ne te permets pas de me parler ainsi ! Je suis ta mère !"
"Oh ça va hein, le cliché de la mère effarouchée par son gamin rebelle."
"Je..."

STOP ! C'est LE mot de la fin, pas la complainte de Mr Satoshi et sa môman !

Coupé. On enlève cette scène au montage, merci.

P.S. -> *Bave sur L.*

Donnée du Personnage :

Motif d'inculpation : Dans les documents officiels, c'est un meurtre prémédité. Mais la réalité est tout autre. C'était de la légitime défense.

Biographie :

Such a pretty toy
Such a pretty toy to play with
Such a pretty toy
Such a pretty toy to play with

(Pretty Toy de VAC)

Le garçon écarquilla les yeux. Sa vue était brouillée par le sang, son corps dénudé et ses mains étaient couverts d’hémoglobines. Il chancela faiblement, et tomba à terre, sur les genoux. Il approcha ses doigts du visage de l’Autre, frôlant sa joue. Puis il les laissa glisser jusqu’à son menton, où une traînée de sang coulait vers son cou. Il jeta un coup d’œil vers l’abdomen de l’homme, où un long coupe-papier était enfoncé. Il se rapprocha et tira la lame hors de son étau chaud et sanglant. Une gerbe de liquide carmin s’échappa du corps sans vie, allant tacher le bras déjà maculé du garçon.
« K-kisama… murmura-t-il d’une voix faible, rauque. Nande ? Tame ! Uzai ! Uzai ! NANDE, KUSO ?!
Ses poings crispés frappaient furieusement le torse de l’homme qui ne pouvait évidemment pas répondre et ne le ferait plus jamais.
- Mako-kun ? Mako-kun, vous êtes là ? Mako-kun, que se passe-t-il ?!
Le garçon sursauta, terrifié, il s’éloigna du corps et alla se recroqueviller dans un coin de la pièce. Il attira son kimono vers lui et cacha son corps avec. Les hommes de Mako appelèrent encore une foids, avant de défoncer la porte.
- Mako-kun ?! MAKO-KUN ?!
Le jeune garçon se leva précipitemment et s’approcha de la sortie, mais l’un des hommes le rattrapa.
- Il a tué Mako-kun ! Son propre père !
- C-ce… CE N’EST PAS MON PERE !!! s’écria le garçon avant de sombrer dans l’inconscience.
- Appelez la police, vite. »

HUIT ANS PLUS TÔT.

Rape yourself of entity
A nail surging in
Sewn up in powers
Sew it in your forehead

« Satoshi-kun, peux-tu aller dans le couloir, s’il te plaît ? demanda l’institutrice avec une voix douce. Le garçon la regarda, intrigué. Il n’avait pas fait de bêtises, pourtant. Il se leva sous le regard curieux de ses camarades de classe et sortit dans le couloir. Là, le directeur et sa mère l’attendaient.
- Maman ? s’étonna-t-il en voyant sa mère pleurer.
- Mon Satoshi, mon chéri… murmura-t-elle d’une voix rauque avant d’enfouir son visage entre ses mains.
- Que se passe-t-il, maman ?
- T-ton père… Papa… papa est mort…
- N-nani ?!
- Satoshi, commença le directeur en se penchant vers le garçon pour poser ses mains sur ses épaules avec douceur. Ton papa a eut un accident de voiture, il est mort sur le coup.
- NANI ?! s’écria Satoshi, les larmes aux yeux. Il se rapprocha de sa mère. C’est vrai ? Maman, c’est vrai ?!
- Oui, mon chéri, oui, c’est vrai… »

Repulsive, persuasion, forcing a god
A sea of traitors, bleed into my head
Lost in power of fate, sew your dead life
Always goes no sacrifice, no it's this power

Kaeru Kuraï était un père aimant et attentionné, un époux tendre et toujours présent. Il avait vécu la troisième guerre mondiale, mais cela ne l’avait pas rendu aussi triste et taciturnes que la plupart des gens. Au contraire, cela l’avait encore plus rapproché de sa femme, et par la suite, son fils.
Satoshi adorait son père. Il jouait sans arrêt avec lui, plaisantait, faisait de longues balades à cheval et lui confiait tous ses problèmes. Kaeru était ce que l’on pouvait appeler un papa poule. Il était même plus ‘maternel’ que Sachiko, la mère de Sat.
Malheureusement, Kaeru n’était plus là, à présent. Il était mort d’un accident de la route, à l’âge de 35 ans, laissant derrière lui sa femme et son fils âgé de dix ans…

~ Mon Papa est mort aujourd’hui. Ma maman m’a dit que c’était à cause d’un accident de voiture. Un monsieur qui avait bu trop d’alcool a foncé dans la voiture. Elle est toute cassée, maintenant. Mon papa aussi, il est cassé. Le monsieur a cassé le cœur de mon papa, c’est pour ça qu’il ne bat plus. Alors mon papa est mort. Maman a dit que papa était monté au ciel, avec les Anges. Il paraît que les Anges sont très beaux. Papa m’en avait déjà parlé, quand Papi est monté au ciel pour rejoindre Mamie et les Anges. Mon papa va rejoindre son papa, sa maman et sa petite sœur. Alors je suis content. Là haut, il va être heureux, et puis il me regarde, maman m’a dit.

J’ai vu mon papa, aujourd’hui. Il avait son costume noir, tout propre, sa cravate préférée, la rouge. Il était tout pâle et tout froid, ça m’a fait bizarre, quand je lui ai fais un bisou sur la joue, pour lui dire au revoir.
Sayonara, papa. Je t’aime.
Ton Satoshi. ~

Power fit in you, on you
Tired, traitor, insane a purple day

Après la mort de son père, Satoshi se métamorphosa. Il se renferma sur lui-même, ses résultats scolaires chutèrent considérablement, il devint encore plus timide à l’extérieur, mais très désagréable avec sa mère. Il s’enfermait dans sa chambre pour lire, ou pour écrire tout en écoutant de la musique, pendant des heures. Il lui arrivait de passer ses journées enfermé. Au collège, Sat avait la réputation d’un garçon calme, timide, mais terriblement triste et taciturne. Cependant, malgré ce caractère, il était aussi connu pour ses vêtements provocants…
Satoshi ne portait plus que des slims particulièrement moulants, des mini-shorts, des pantalons en cuir. D’ailleurs, à cette époque, trouver un string sous les pantalons de Sat’ n’aurait pas été étonnant ! Il s’était totalement dévergondé. Il avait customisé son uniforme, de façon à être original, et en dehors du collège, il portait ce qu’il voulait, quand il voulait.

Pourquoi ? Pour provoquer, pour se faire remarquer, très certainement. Sa mère ne disait rien, elle était trop dépassée par les évènements, mais aussi, trop occupée à aller voir ailleurs…

« Satoshi, il faut que je te dise quelque chose… commença Sachiko avant d’arrêter la voiture devant la porte du garage.
- Nani ? grogna le garçon en retirant ses écouteurs.
- Il y a un homme, à la maison.
- Hein ? et alors ? dit-il, sans comprendre.
- Ano… cet homme, il va venir vivre avec nous.
- Nani ? Nande ? s’étonna Sat’ avant de comprendre. NANI ?! Pas question ! s’écria-t-il avant de sortir de la voiture et de claquer la portière.
- Satoshi…
- Pas question ! Et papa ?! Tu oublies papa ?! Papa est mort alors toi, tu vas voir ailleurs ? Salope !
- Satoshi !
- La ferme ! s’exclama le jeune adolescent avant de se précipiter dans la maison. C’est alors qu’un homme sortit de la salle de bain, une serviette autour de la taille. Satoshi écarquilla les yeux, la bouche entrouverte.
- Oh, tu dois être Satoshi…
- Qui t’es, toi ? lança-t-il, agressif.
- Mako. Je m’appelle Mako Itekawa. »

So I find you here
Caught in the middle of some stupid vice
Shooting your arms

Satoshi en voulait terriblement à sa mère d’avoir fait entrer cet homme dans sa vie. Mako. Il ne voulait pas de lui ! Ce type voulait prendre la place de son père, il ne le laisserait pas faire ! Il avait la ferme intention de faire déguerpir cet homme de chez lui.
Malheureusement, deux ans plus tard, Mako était toujours là. Pire encore, il était carrément marié à sa mère. A quinze ans, Sat’ était devenu un véritable petit démon avec le nouveau mari de sa mère. Il faisait toutes sortes de bêtises, rien que pour le faire enrager. Devenu encore plus provocant – si c’était possible – il n’hésita pas à ramener son premier petit ami à la maison, pour l’embrasser devant sa mère qui ignorait alors que son fils était homosexuel… hum. Malheureusement, ces petits déboires coûtèrent très, très cher à Satoshi…

« J’suis rentré, m’man, grogna Satoshi en jetant son sac par terre. Il alla s’asseoir sur le canapé et alluma la télévision en soupirant. Mako débarqua dans la pièce, les mains dans les poches de son jean, et se planta en face de lui, masquant l’écran.
- Bonjour, Satoshi.
- Salut. Dis, tu peux virer ton cul de devant la télé ? C’est pas que tu me gênes, mais pres… Sat’ s’interrompit, les sourcils froncés. Mako avait éteint la télé. Hey ! Occupe toi de tes fesses, connard. Où est maman ?
- Ta mère est partie ce matin, pour toute une semaine, tu as oublié ?
- Ah ouais, c’est vrai… Bon, sérieux, tu peux me laisser tranquille ?
- Non, souffla Mako avec un sourire étrange, avant de se pencher au-dessus de Satoshi. Il posa sa main sur la cuisse de l’adolescent, et la remonta lentement.
- Qu’est-ce que tu fais ?! s’écria Satoshi avant d’essayer de le repousser, mais son beau-père était bien plus fort que lui, et sa carrure imposante l’empêchait de faire le moindre mouvement. Mako ne dit rien, il approcha se visage du sien, et glissa ses lèvres dans son cou. Il mordilla la peau douce, laissant sa langue jouer avec le cou du garçon.
- Arrête ça ! Pervers ! Lâche-moi ! gémit-il, clairement paniqué. Il essaya de se débattre, sans succès. Puis, sans prévenir, il remonta son genou, qui alla cogner violemment l’entrejambe de Mako… l’homme étouffa un grognement de douleur et se redressa. Il jeta un regard terrifiant à Sat’, puis le gifla, avant de l’empoigner par les cheveux.
- Je vais t’apprendre à me respecter, sale petite pute.
- Je ne suis pas une pute ! gronda l’adolescent, avant de glapir, surpris, au contact de la main de Mako sur son entrejambe. Il rougit violemment, puis gémit à son beau-père de le lâcher. Sans faire attention aux supplications de Satoshi, l’homme commença le dévêtir.
- Arrête ça… Mako, lâche-moi… j’t’en prie, sanglota l’adolescent, tremblant comme une feuille. ARRÊTE CA ! »

And wrap it around your head
And put it down your throat
Deeper and deeper
Deeper and deeper

Jouet : n. m. 1. Objet aveclequel un enfant joue ; objet fabriqué à cet usage. 2. Fig. Personne dont on se joue, dont on se moque. Il n'a été qu’un jouet entre les mains de cet intrigant.
3. Fig. ~~Personne~~, chose, livrée à une force extérieure aveugle ; personne victime d’une tromperie, d’une illusion. Être le jouet des évènements.

Humilier : v. tr. 1. Rendre humble, abaisser. Humilier la fierté de quelqu’un. 2. Humilier quelqu’un, le blesser dans son amour-propre en le couvrant de honte ou de confusion.

Soumettre : v. 1. Mettre dans un état de dépendance, ramener à l’obéissance. Soumettre un rebelle.

Soumis, ise : adj. Qui fait preuve de soumission, docile, obéissant. Un enfant soumis.

This is not a game
Get down on your four legs
Get down on your four legs
And show me what life is about

~ Ne rien dire. Surtout, ne rien dire, pour éviter que cela soit pire. Garder tout cela pour soit. Rester un être vil et sale, une chose que l’on jette après s’en être servie. Ne pas parler. Jamais. Se cacher, toujours se cacher, pour éviter que l’Autre me punisse. C’est de ma faute, je suis désirable. Il ne faut pas être désirable. L’Autre l’a dit, l’Autre me punit.
Obéir. C’est tout ce que je dois faire. C’est tout ce que je sais faire. Ne rien dire à maman, ne rien dire à personne. Maman ne doit pas savoir. L’Autre l’a dit, ça lui ferait du mal, de savoir que son fils est un monstre. Alors je ne dis rien, jamais. Je le laisse faire. Toujours.
Pas le choix. ~
- Deux ans après le premier viol de Satoshi -

Show me the truth
Show me life and show me death
Whip me, shoot me, kill me
Stab me, punch me

« Nnnh… gémit le garçon avant de se relever en grimaçant. Son corps n’était que douleur. Chaque muscle le faisait atrocement souffrir, chaque parcelle de peau. Il sécha ses joues humides de larmes, et tendit une main tremblante vers son kimono. Il le passa sur ses épaules maigres et se releva au prix d’un immense effort. Les jambes tremblantes, les cuisses maculées de sang séché, l’adolescent sortit de la pièce sombre dans laquelle il avait été enfermé pendant des heures. L’Autre lui jeta un regard narquois.
- Va te doucher, t’es dégueulasse.
- Oui, souffla le garçon d’une voix si rauque d’avoir trop crié qu’elle en devenait inaudible. Pour lui montrer qu’il obéissait, il se dirigea vers la salle de bain d’un pas lent, difficile. Il ouvrit la porte et entra dans la pièce, puis la referma. Il laissa glisser le kimono sur le sol, et s’avança vers la douche. D’un mouvement machinal, il actionna l’eau brûlante, qui s’écrasa sur le sol, l’éclaboussant de gerbes d’eau chaude. Le garçon se plaça sous le jet, et se laissa glisser le long de la paroi de la douche. La chaleur de l’eau faisait de la buée partout autour de lui, c’en devenait suffoquant, mais il s’en fichait. Les larmes coulaient le long de ses joues, mais cela ne se voyait pas, hormis la rougeur de ses yeux.
- Papa… Nande… ? Tu m’as abandonné… tu m’as abandonné avec l’Autre… Nande… ? sanglota-t-il d’une voix cassée.
Il sortit de la pièce après une demi-heure. Replié sur lui-même, il alla s’enfermer dans sa chambre. Là, il se jeta sur son lit et s’empara de sa peluche.
- Crab… Crabouille… sanglota-t-il. L’Autre a recommencé… encore, et encore… et encore… »

Put it in my hair
Put it in your eyes
It's no suprise
Just sit back and show me what life is about

Mako Itekawa. Le célèbre homme politique à présent remarié violait le fils de sa femme et le traitait comme un objet, un jouet. Si cela venait à se savoir, sa vie serait fichue, alors il maintenait la pression sur Satoshi, de façon à ce que l’adolescent soit terrifié rien qu’en l’apercevait à la télé.

« Satoshi !
- Oui ?
- Va me chercher une bière dans le frigo, s’il te plaît.
- O-oui, tout de suite, Mako, murmura le garçon avant de se précipiter à la cuisine. Sachiko eut un tendre sourire.
- Je suis contente, il est devenu plus gentil avec toi.
- Oui, disons qu’il a… appris à me connaître, répondit Mako avec un sourire, réprimant un fou rire fasse à la naïveté de son épouse.
- Je suis seulement déçue qu’il soit devenu aussi renfermé sur lui-même, et que ses résultats scolaires aient à ce point baissé… c’est dommage, c’est un garçon intelligent.
- Il ne faut pas trop lui en demander, Sachiko, mais si tu le souhaites, je lui en toucherais un mot ou deux.
- Oh, tu es un ange, Mako, murmura sa femme avant de l’embrasser doucement.
- Je sais. »

I have no clue, no mind
So you'll have to show me
And don't waste my time

~ Je viens de finir un livre que m’a prêté Hitomi. Dans ce livre, le héros se fait torturer pendant plusieurs mois par une femme aux pouvoirs étonnants. Elle le transforme peu à peu en un gentil petit chien bien obéissant. Mais à la fin, le héros trouve le moyen de tuer cette femme, il le fait, juste après l’avoir pardonnée, et recueille son dernier souffle dans un baiser. Il est courageux, et très gentil, ce héros, parce que moi, je ne pourrais jamais pardonner comme cela. Ce serait trop difficile.
L’Autre n’arrête pas. En fait, je n’en peux plus. Je n’ai jamais rien dis, comme je lui avais promis, et pourtant, il continue. Il m’a mentis, quand il m’a dit qu’il serait gentil si je ne disais rien. Il faut que je lui parle… Il faut que j’en parle ! ~

I will not jump around in circles for you
You fucking bitch, die
I'll show you a psychopathic madman
All sewn into your eyeballs

« Moshi moshi ?
- Ano, maman… Mako est à la maison ? demanda Satoshi d’une petite voix.
- Non, il est encore au boulot, pourquoi ?
- Ok, merci, je te rappelle plus tard.
Le jeune homme raccrocha et rangea son téléphone portable. Avec un petit soupir, il se dirigea vers la station de métro, qui le conduirait jusqu’au travail de Mako. Un quart d’heure plus tard, il entrait dans l’immense immeuble.
- Ohayo.
- Ohayo. Hum, ano… le bureau de Mako Itekawa… ?
- Vous êtes ?
- Satoshi Kuraï son… son… son fils.
- Son bureau se trouve au troisième étage, dans le couloir de gauche, il y a une plaque devant la porte.
- Arigatô.
L’adolescent prit l’ascenceur, il se retrouva rapidement au troisième étage. Il prit le couloir de gauche, et arriva devant la porte du bureau de Mako. La main tremblante, il frappa deux coups.
- Hai ?
- C-c’est Satoshi, j-je peux entrer ?
- Satoshi… ? s’étonna Mako avant de se lever pour ouvrir la porte. Un sourire goguenard étira ses lèvres, tandis qu’il laissait le garçon entrer dans son bureau. Qu’est-ce que tu viens faire ici, dis-moi ?
- J-je suis venu te parler, répondit-il d’une voix mal assurée. Il commença à tordre ses doigts, tandis que Mako se glissait dans son dos. L’homme glissa ses mains sous le kimono du garçon, et pinça ses pointes de chaire, presque avec douceur. Satoshi gémit légèrement, puis se mordit durement la lèvre.
- Me parler… ?
- Oui ! Alors arrête ça ! S’il te plaît ! J-je ne veux pas !
- Et depuis quand est-ce que c’est toi qui décide ? sussura Mako à son oreille avant de laisser glisser sa main jsuqu’à l’entrejambe de Sat. Il défit le kimono, le faisant tomber au sol. Puis il poussa l’adolescent jusqu’à son bureau. Satoshi trébucha et tomba durement sur le meuble, sur le ventre. Avec un sourire en coin, terrifiant, Itekawa força le garçon à appuyer son torse contre la table, pendant qu’il le caressait.
- A-arrête ! hoqueta le jeune homme en essayant de se débattre, les larmes aux yeux. Pas ici !
- Personne ne peut t’entendre, ici, cesse de geindre, répliqua l’homme avant de retirer le boxer noir de Satoshi, le laissant ainsi nu. L’adolescent gémit de douleur, tandis que l’Autre le besognait, une fois de plus. Sat eut beau gémir, crier, implorer Mako de le lâcher, il ne le faisait pas. Désespéré, le garçon attrapa la première chose qui lui tombait sous la main et frappa l’homme de toutes ses forces. Le coupe-papier s’enfonça profondément dans l’abdomen de Mako. Mû par une violence bestiale, le garçon commença à frapper l’Autre de toutes ses forces, avec le coupe-papier, enfonçant la lame là où il le pouvait, hurlant de désespoir.
- Sato… shi… »

Liquid acid

Le garçon écarquilla les yeux. Sa vue était brouillée par le sang, son corps dénudé et ses mains étaient couverts d’hémoglobines. Il chancela faiblement, et tomba à terre, sur les genoux. Il approcha ses doigts du visage de l’Autre, frôlant sa joue. Puis il les laissa glisser jusqu’à son menton, où une traînée de sang coulait vers son cou. Il jeta un coup d’œil vers l’abdomen de l’homme, où un long coupe-papier était enfoncé. Il se rapprocha et tira la lame hors de son étau chaud et sanglant. Une gerbe de liquide carmin s’échappa du corps sans vie, allant tacher le bras déjà maculé du garçon.
« K-kisama… murmura-t-il d’une voix faible, rauque. Nande ? Tame ! Uzai ! Uzai ! NANDE, KUSO ?!
Ses poings crispés frappaient furieusement le torse de l’homme qui ne pouvait évidemment pas répondre et ne le ferait plus jamais.
- Mako-kun ? Mako-kun, vous êtes là ? Mako-kun, que se passe-t-il ?!
Le garçon sursauta, terrifié, il s’éloigna du corps et alla se recroqueviller dans un coin de la pièce. Il attira son kimono vers lui et cacha son corps avec. Les hommes de Mako appelèrent encore une foids, avant de défoncer la porte.
- Mako-kun ?! MAKO-KUN ?!
Le jeune garçon se leva précipitemment et s’approcha de la sortie, mais l’un des hommes le rattrapa.
- Il a tué Mako-kun ! Son propre père !
- C-ce… CE N’EST PAS MON PERE !!! s’écria le garçon avant de sombrer dans l’inconscience.
- Appelez la police, vite. »

It's a broken form of disease
No closing push it for me
Now fuck for you, this disease
I'll fuck, i'll kill you, fucking sleaze

« Il a tué mon mari ! Enfermez-le ! »

« Vos accusations n’ont aucun sens, M. Kuraï… »

« Vous mentez. »

« Vous l’avez tué. »

« Meurtrier »

« Parce que j’avais peur ! Je ne pouvais rien dire ! »

« M. Kuraï, vous êtes coupable du meurtre prémédité sur la personne de Mako Itekawa. »

« Non ! »

« Vous serez transféré sur l’Île. »

« Ce garçon est fou ! »

« Non ! Maman ! Crois-moi, je t’en prie, maman ! »

« Je ne suis pas ta mère, démon. »

« MAMAN ! »

I'll push it, i'll push it closer
No, fall down forever
I'll push it closer, hide in your closet
Right down your neck, now freezing, freezing

~ Je ne suis pas fou. C'est pas moi. C'est lui. Je ne voulais pas. Je ne pouvais pas. Papa... papa, pourquoi m'as-tu laissé tomber ? Papa... Maman m'a envoyé en Enfer.
Gomen, gomen, je ne pourrais pas venir te voir chez les Anges, Papa, je suis un démon. Gomen. ~

Drink the poison so insane
Screaming, break down

(Repulsive de VAC)

THE END !

Aki: MON CHERI D'AMÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜR! *o*

*flanque un coup de pied à Aki.* Casses-toi, parasite ><.

Fiche Validée!

Aki: yiaaaah <3

*assome son perso à coup de poelle*