Informations générales :
Nom : Fujii
Prénom : Aiko
Sexe : Féminin
Date de naissance : 6 mars 1990
Lieu de naissance: Osaka
Âge : 17 ans
Tendance : Bisexuelle
Description :
Physique : Aiko est, il faut le dire, une japonaise comme une autre. Ce n’est en aucun cas, une fille différente que toute celle qui peuple le pays, une fille extraordinaire (pour changer). Non, la fille Fujii est tout ce qui est de plus normal, dans la norme, et elle ne s’en porte pas plus mal. A quoi bon essayer de se changer ? Pour être différent des autres ? Oui mais non ; Aiko à comme principe d’essayer de rester naturelle (malgré la société actuelle). C’est pourquoi vous trouverez ses cheveux non teints, donc pas blond, pas roux, pas violets, pas vert ou même rose, non, simplement noirs. Pareil pour ses yeux ; non merci pour les lentilles de couleurs. Evidemment, elle est petite, comme la moyenne nipponne. Elle n’a pas de piercing, de tatouages, non vraiment rien qui puisse la distinguer à part… à part bien sur sa casquette. La seule chose (ou dans son langage « My one thing ») à laquelle elle tient énormément et qui justement puisse la distinguer des autres. « Vous avez vu Aiko ? » « Qui ? » « La fille à la casquette noir » « Ah elle !». La jeune fille ne s’en sépare que pour se laver et dormir (bien qu’elle reste toujours dans ces moments, à son chevet ou sur le lavabo).
Mentale : On pourrait aisément penser qu’Aiko est aussi simple en personnalité qu’en style. Et bien non, en réalité, elle est pour le moins plus compliquée. Même si vous trouverez sûrement cela répétitif ; on a du mal à la comprendre, à comprendre sa personnalité. La jeune fille n’est pas vraiment de ces mégas Kawaii que l’on trouve partout dans les rues. Elle n’est pas non plus ce genre de personnes gothiques ou sombres, que l’on trouve partout dans les ruelles. Vraiment rien de tout ça en fait, du moins en parti, car elle serait plus au milieu du système. Oui, elle est mignonne, non, pas trop. Oui elle est « dangereuse », non pas trop. On pourrait penser équilibrée mais pas vraiment. Compliqué non ? Et pourtant, la jeune Fujii est juste une fille qui a grandit dans les quartiers « délabrés ». Une fille sympathique et pourtant qui sait aisément se défendre. Une fille qui s’écroule sous la société tout en souhaitant enfin vivre normalement. (Attention ! => Pas vulgaire)
Like : Les choses simples ! Telles que les sorties le soir, les moments entre amis (spécialement des potes garçons), une bonne cuite de temps à autre (une fois par semaine), lire (et oui, de la grande littérature même, malgré qu’elle ai arrêté cette passion depuis « le grand plongeon »), l’eau (pas à boire, à nager dedans), le chocolat (en tablettes de 10), sa casquette (mais vous l ‘aurez compris), les sucettes (elle en a quasiment toujours une dans la bouche, parfum coca ou fraise), sa famille (père+mère, sans frères ni sœurs), les parties de base ball américain prêt de chez elle (avec toujours minimum une vitre cassée ; elle est d’ailleurs très réputée dans ce jeu qu’elle a instauré dans son quartier et pour lequel elle est douée) ainsi que planer. Planer encore et encore.
Dislike : Comme aucun mot n’y a touché depuis le début de la description, autant préciser, même dans le « dislike » qu’Aiko apprécie les garçons. Même si elle n’est pas du genre à « jouer » avec eux, elle est même plutôt sérieuse et dislikles par contre a lot les sales garces qui croient qu’elles sont le nombril du monde et surtout les miss univers. Et oui, il y en a même dans les « citées » japonaise. Ses filles là, Aiko les regarde de haut, mais surtout s’étonne elle-même à elle menacer et à se battre avec elle. Se n’est pas vraiment son genre ; rebelle, oui, sauvage non. C’est vraiment et uniquement ce genre de personnes qui peuvent la mettre hors d’elle. A par elles, la jeune fille n’est pas la police locale (évidemment), les cours et qu’on lui manque de respect.
Données du Personnage :
Motif d'inculpation : Possession et trafiques de drogues
Biographie : Aiko est née il y a maintenant dix sept ans (autant commencer par le début). Ni sa mère, ni son père n’avait vraiment de moyens, mais ils élevèrent leur fille avec le plus d’amour possible, au défaut de l’argent et de gâteries que l’on fait aux enfants. La jeune fille à toujours vécut au même endroit, dans la loiinnntaine banlieue d’Osaka où personne ne vient jamais, qui est peuplé uniquement de gens qui ont juste assez pour ne pas dormir dans la rue. D’ailleurs, elle n’en est jamais sortie. A ce demander à quoi ressemble le monde en dehors de son vieille immeuble qui tombe presque en ruine. Dès son plus jeune âge, Aiko Fujii comprit que la vie était un terrain très difficile, et que pour s’en sortir, il fallait simplement avoir un métier avec une bonne paye. Comme tout enfant qui voulait bien faire, elle se mit en tête de très bien réussir ses études, même dans des écoles sans réputations pour plus tard, avoir assez pour faire sortir sa famille de la misère. Alors elle étudia. Au début, tout le monde dans son quartier (du moins les jeunes de son âge) la prirent pour une intello et la rejetèrent, jusqu’au jour où elle les affronta (vers 7ans), leur expliquant qu’au moins ELLE, elle s’en sortirait. Elle était jeune et naïve bien sûr. Voyant que la petite fille intello n’était qu’en fait une petite fille à la recherche d’une vie meilleur, tous les jeunes s’attachèrent à elle, et ils grandirent, s’attachant tous les uns aux autres. Aujourd’hui, il n’y a personne qu’Aiko ne connaît pas dans tout le périmètre autour de chez elle.
Malheureusement, Aiko déchanta plutôt vite. Vers ses 14-15 ans, elle avait compris que de toute façon, avec le système actuel, elle était vraiment foutue. Au début, elle l’avait très mal prit et avait beaucoup pleuré ; évidemment, elle se rendait enfin compte qu’elle ne pourrait jamais se sortir et sortir ses parents de leur mode de vie très mauvais, et après tant d’années cela faisait un choc. Mais elle ne ressorta que plus forte de cette épreuve. C’est d’ailleurs à ses 16 ans, alors qu’elle avait presque perdu un peu sa raison de vivre qu’un espoir s’alluma en elle. C’était un jour normal, elle avait séché deux trois cours, avant de rentrer chez elle, traînant un peu avec ses potes de toujours, sucette au coca à la bouche. Mais un de son groupe manquait à l’appel, et c’était déjà la cinquième fois cette semaine. Evidemment, Aiko décida de s’interroger et de trouver son ami chez lui. Mais il n’était pas là. Sa mère la rassura, il allait bien, mais il était étrange ces derniers temps. Quand elle réussit enfin à le coincer, il resta très mystérieux durant toute la conversation. Sois disant qu’il n’avait plus le temps de venir à leur rendez vous potes et qu’il avait à faire. Mais la jeune fille était très convaincante, et il lui donna rendez vous dans un petit coin abandonné, à 20mn à pied de l’immeuble où il habitait. Une fois seuls, il lui expliqua enfin que « des gens » lui avait donné du travail et que désormais il se faisait pas mal de fric.
« T’es une fille bien, et t’a toujours galéré Aiko. Alors je vais partager ça avec toi. Mais essaye pas dme baiser sinon t’es morte. »
Eh ben dis donc. Elle-même ne le reconnaissait plus. Mais elle avait hoché la tête. Apparemment, il vendait ET consommait de la drogue. A cette nouvelle, la jeune fille fut très choquée, mais l’argent qu’il recevait comblait largement le péché. Et il lui trouva également du « travail ». Au début, la fille Fujii s’en voulait bien évidemment. Mais à chaque fin de mois, elle se disait, recomptant le tout, qu’après tout, cela en valait bien la peine, et que désormais, c’était sur, elle vivrait mieux et surtout, qu’elle sortirait de sa lointaine banlieue. Ah oui, j’imagine que c’est pas la peine de préciser qu’elle aussi goûta à sa propre marchandise avant d’en devenir totalement accro. Jusqu’au jour où son marché trop étendu attira les flics, qui, la trouvèrent complètement choutée sur le moment, avant de l’arrêter direction la cellule, puis, avec un avocat commis d’office, finalement être jugée et envoyée sur l’île.
HRP :
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Personne sur l'avatar : Aya Ueto
Le mot de la fin : Out !
Sujet: Aiko Fujii 
Lun 9 Avr - 23:02
