Ato no Ketsueki
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Ato no Ketsueki

Ato no Ketsueki
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Carte Fnac+ Jackpot avec 30€ offerts sur le ...
Voir le deal
19.99 €

 

 Mariko Hasekawa

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Mariko Hasekawa
-
-
Mariko Hasekawa


Nombre de messages : 3
Âge : 22 ans
Crime(s) commis : Importation illégale d'animal en voie de disparition
Date d'inscription : 09/04/2007

Mariko Hasekawa Empty
MessageSujet: Mariko Hasekawa   Mariko Hasekawa Icon_minitimeLun 9 Avr - 23:59

Informations générales:

Nom : Hasekawa
Prénom : Mariko
Sexe : Féminin
Date de naissance : Dimanche, 14 mars 2048 – 3h02 a.m.
Lieu de naissance : Osaka - Japon
Âge : 22 ans
Tendance : Bisexuelle

Description :

Physique : Mariko est une jeune femme bien dans sa peau. Sa silhouette bien proportionnée l’y a bien aidé. Elle mesure approximativement un mètre et soixante-et-onze centimètres, une taille ni trop grande, ni trop petite. Elle pèse environ cinquante-six kilogrammes, un poids qu’elle s’efforce de garder toujours au même niveau. Cette stature svelte et gracieuse ne fait pas d’elle une femme délicate, comme en témoigne l’attitude dont elle fait preuve. Son corps lui plaît et elle aime qu’il plaise aux autres, c’est pourquoi elle porte des vêtements qui mettent ses formes en valeur. Du pantalon noir à la jupe de princesse, de la blouse blanche au chemisier de dentelles, elle s’organise toujours pour bien paraître, tout en étant efficace. Ses chaussures sont en général sans talons, car les talons élevés ne sont pas très pratiques. Cette jeune femme assortit souvent quelques accessoires à sa tenue, comme un chapeau ou un ornement de cheveux, des bijoux légers ou une ceinture. Elle porte toujours une montre gousset, dont la chaîne passe à son cou. Elle cache par contre ce fidèle accessoire sous les vêtements qu’elle revêt, pour éviter de l’abîmer.

Son visage ovale possède un teint légèrement hâlé, qui se dore doucement à la lumière du soleil. Ses petites lèvres charnues sont colorées de rose presque en permanence, car elle prend toujours le temps de se maquiller un peu. Ses yeux en amande soulignés d’un trait noir sont de couleur noisette, variant entre cette teinte et marron, selon son humeur et l’éclairage. Lorsque son regard s’assombrit, c’est qu’il vaut mieux se tenir à carreaux en sa présence, car elle ne laissera rien passer. Si elle vous adresse un regard autoritaire teinté de noir, c’est qu’il est plus sage de se soumettre à elle avant qu’elle n’explose. Néanmoins, si ses iris sont clairs et scintillants, vous aurez peut-être la chance de discuter un peu avec elle. Sa chevelure autrefois brune est maintenant teint en blond, une couleur qui lui va fort bien. Ses cheveux tombent sur ses épaules, mais elle les attache généralement en chignon ou autre, afin qu’ils ne lui obstruent pas la vue. Si elle les laisse retomber librement, le vent se charge aussitôt de les lui envoyer dans les yeux. Pas très pratique...

Il y a aussi un élément marquant dans son physique. Ses ongles. Ils sont longs et bien entretenus malgré son attitude bagarreuse ; elle prend toujours la peine de les peindre afin qu’ils soient assortis à sa tenue.

Mentale : Mariko est une jeune femme particulière. Elle s’aime et aime que les autres l’aiment. Simple, non ? Pas qu’elle soit narcissique, seulement, elle aime avoir de l’attention, elle aime plaire. Elle n’est pas égocentrique, elle désire seulement qu’on lui porte de l’intérêt. Souvent. Très souvent. Peut-être finalement un peu trop souvent. En apparence, elle est bienveillante, aimable et polie, mais c’est en fait un chat aux griffes rétractées. Elle n’attend que le bon moment pour s’agripper à votre chemise ! Et si par malheur elle réussit, il ne vous reste plus qu’à retenir votre souffle car ce boa constrictor s’enroulera autour de vous jusqu’à ce que mort s’en suive. De façon figurée bien sûr, car ce n’est pas une meurtrière. Loin de là d’ailleurs. Elle est plutôt sympathique si on sait l’apprécier à sa juste valeur. Ce n’est pas juste une question de politesse, mais aussi de confiance…

Elle n’est pas naïve et ne se laisse jamais avoir ; elle a un flair hors-pair pour les arnaques. Elle semble innocente ? Taratata ! Courez, gentilshommes et bonnes femmes avant que le démon en elle ouvre les yeux ! Oh…Mais attendez ! Elle n’est pas si méchante…À vrai dire, Mariko a, comme tout le monde, ses limites à la patience. Sauf que dans son cas, le vase débordant de gouttes d’eau n’est pas plus grand qu’une tasse de thé. Cette jeune femme s’énerve facilement, surtout les jours où elle ne se sent pas d’humeur, c’est-à-dire six jours sur sept. En général, le mercredi, elle est plus commode, va savoir pourquoi…Et malheureusement, c’est souvent de cette journée qu’elle profite pour se soustraire à la compagnie des gens et errer seule, quelque part à l’écart de la civilisation. Ce n’est pas une grande solitaire, mais elle est un peu farouche et réclame un espace vital souvent très grand. Une petite bulle ne suffit pas à une personne comme elle qui réfléchit beaucoup…Parfois des heures entières. Elle est aussi très bavarde, enfin, quand elle le veut bien. En fait, son attitude dépend des gens qui l’entourent et de son humeur. Elle est gentille, quand ça l’arrange. Sinon…et bien, elle se comporte comme il lui semble bon de se comporter : un très poli « ‘pas envie de discuter! » termine habituellement de façon rapide les conversations indésirables.

Like : Mariko aime les miroirs, mais pas seulement parce qu’elle peut s’y regarder. Elle croit en fait à la théorie d’un anti-monde, de l’autre côté. Elle aime la nature et les fruits en tout genre, surtout les mangues, son pêché mignon. C’est aussi une amie des animaux, autant à sang froid qu’à sang chaud.

Dislikes : Elle ne supporte pas la solitude et la curiosité des autres (la sienne, ça va XD !). Elle déteste être ignorée et n’aime pas l’obscurité, elle n’en a pas peur seulement elle ne voit pas d’utilité à la noirceur, elle qui dort toujours avec une veilleuse.

Données du personnage :

Motif d'inculpation : Voilà une histoire un peu loufoque…En fait, notre amie Mariko a un penchant pour les animaux. Et c’est d’ailleurs ce qui l’a conduit en prison : importation illégale d’un animal en voie de disparition. Plus précisément un tarsier spectre, le plus petit primate enregistré jusqu’à aujourd’hui…Il est d’ailleurs considéré comme un fossile vivant, habitant les régions de l’Asie du Sud.

Biographie :
La nuit du treize au quatorze mars était fraîche. Heureusement, malgré la guerre qui fait rage, tout se passe pour le mieux dans cette ville qui fait partie de la puissance mondiale à cette heure…Le Japon. Les cartes sont jouées : tout ne se terminera pas très bien, mais surtout pour les autres. La famille Hasekawa n’a justement rien à craindre puisque, confortablement installés dans leur modeste maison, rien ne les a angoissé sinon l’arrivée prochaine d’un bébé dans leur couple. Mitsumi et Katsuo sont ensemble depuis déjà deux ans et seront enfin comblés lors de la naissance de leur fille. Et voilà que, le quatorze mars au matin, à 3h02 plus précisément, leur petit ange voit enfin le jour. La petite fille leur inspira aussitôt le prénom de Mariko et il s’avéra que ce dernier lui allait fort bien. Hasekawa Mariko, enfant de la belle nation, fut élevée comme une petite fille normale, rien ne venant déranger sa petite vie de princesse. Dès son plus jeune âge, il sembla que ce petit ange était capricieux. Elle désirait sans cesse des choses qu’elle ne pouvait pas avoir et ne fichait pas la paix à ses parents tant que ses désirs n’étaient pas comblés. Elle demanda un chaton, elle eut un chaton. Elle demanda un chiot, elle eut un chiot. Elle demanda un poney, elle eut un poney. Cependant, elle ne demanda pas la mort de ses chers parents et on lui offrit malheureusement…

Le pays, même maintenant la guerre terminée, n’avait que faire d’une fillette capricieuse et orpheline. Elle avait alors quatre ans. Une bien cruelle destinée pour une si jeune fille. Le premier jour, seule dans la maison qui avait toujours été la sienne, elle ne comprit pas très bien pourquoi ses parents ne revenaient pas. Puis le deuxième jour, laissée à elle-même, elle crut que ses parents en avaient eu assez de ses caprices. Le troisième jour, la petite s’encouragea en se disant qu’elle ne ferait pas ce plaisir à ses parents, elle survivrait. Mais le quatrième jour, voyant enfin que quelque chose de grave se passait, elle alla chez les voisins demander de l’aide. En ces quatre jours fatidiques, elle n’avait pas beaucoup mangé et avait perdu de ses jolies couleurs. Elle expliqua tant bien que mal que papa, maman n’étaient pas venus à la maison depuis longtemps et qu’elle avait dû se préparer un sandwich seule, la nuit dernière et la nuit d’avant. Autant dire qu’elle avait vidé lamentablement certains ingrédients sur une tranche de pain, tentant de modeler un sandwich avec cette pâte informe. Heureusement, la famille voisine connaissait bien la petite et décidèrent de prendre soin d’elle, dans l’espoir que les parents reviennent dans les jours prochains. Mr. Et Mrs. Sagato avaient trois garçons : Shinji, âgé de sept ans, Yamiko, âgé de cinq ans et le petit dernier Raito, âgé d’un an et demi. Mariko les connaissait un peu et fut accueillie comme si elle avait toujours fait partie de la maisonnée. Elle était moins capricieuse, comprenant peu à peu que la vie ne lui offrait pas seulement ce qu’elle voulait. Les années passèrent et elle croyait toujours au retour prochain de ses parents. Elle n’avait pas oublié mais ne voulait pas croire qu’ils puissent être morts ; elle se levait parfois la nuit pour s’accouder à la fenêtre, guettant la voiture. Arisu, femme douce à la voix presque inaudible, venait alors la raccompagner dans son lit, l’embrassait sur le front et la rassurait en lui disant que si ses parents sonnaient à la porte, elle se précipiterait pour leur ouvrir et les enverrait directement la voir. Bercée d’illusions, Mariko ne voyait pas sa vie défiler et se retrouva bientôt à l’adolescence. Douze ans plus précisément. Elle intégra alors le secondaire, où elle fit de merveilleuses rencontres dont Tôkashi Takeo. Ce garçon un peu turbulent mais visiblement surdoué aspirait à devenir zoologiste. Il se passionnait pour les bêtes en tout genre et combien de fois dut-on lui donner des heures de colle pour avoir libérer les rats du laboratoire de science. Il devint le meilleur ami de Mariko, qui jouait souvent le rôle de complice dans les opérations sauvetage des petites bêtes.

Leur amitié, contrairement à plusieurs, résista au temps et lorsque tous deux atteignirent la majorité, ils étaient toujours les meilleurs amis du monde. Takeo parla alors de son projet, celui de partir en Indonésie pour étudier les bêtes sauvages. Il désirait partir un an, peut-être plus, mais devait d’abord régler ces petites affaires ici, au Japon. Ils furent donc en collaboration pendant deux ans, avant de pouvoir acheter les billets qui les mèneraient à destination. Quelques mois plus tard, Mariko et Takeo partirent donc avec une petite équipe de chercheurs, vers l’île de Sulawesi, en Indonésie. S’y trouvaient là quelques espèces tropicales impressionnantes, mais surtout protégées. Les deux jeunes gens avaient l’intention de les « observer », mais dès leur arrivée, Mariko se mit en tête que d’avoir un compagnon tropical ne lui ferait pas de mal. Elle qui vivait seule dans un appartement peuplé seulement de plantes vertes se disait qu’un animal de compagnie serait thérapeutique pour sa déprime de solitude et un chat n’était pas assez spécial pour Mademoiselle Caprice qui avait toujours eu ce qu’elle désirait. Ils restèrent deux ans dans ce pays magnifique qu’est l’Indonésie, au terme desquelles ils revinrent à l’aéroport avec une caisse fermée très solidement. Takeo, menteur convaincant mais aussi zoologiste confirmé, se chargea d’inventer une histoire. Il expliqua aux agents de la douane qu’il ne pouvait pas ouvrir la caisse car il s’agissait d’un spécimen rare de macaque, sûrement encore jamais découvert, et que la bestiole était si fragile qu’un simple coup de vent pourrait la tuer. Il fallait donc que la caisse reste fermée et qu’on la place rapidement dans la soute à bagages. En vérité, dans cette boîte se trouvait Keitari, un tarsier spectre, que Mariko avait insisté pour ramener. De la taille d’un rat, très intelligent, mais surtout très mignon, elle disait que l’animal serait parfait pour son appartement.

Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est que dès leur arrivée, on les forcerait à ouvrir la caisse et qu’on découvrirait la supercherie. Keitari fut donc ramené dans son pays et les deux amis furent envoyés en prison. Takeo réussit à s’en sortir lorsqu’il assura à la police que Mariko l’avait obligé à ramener l’animal, ce qui était en partie vrai. Ce fut donc Mariko qui fut considérée comme criminelle et envoyée ici.

HRP :

Liens avec un personnage du forum : Aucun
Personne sur l'avatar : Kana
Le mot de la fin : Faites place à l’amie des animaux qui méprisent les humains ^^
Revenir en haut Aller en bas
Aki Tokigawa
*
*
Aki Tokigawa


Nombre de messages : 85
Age : 32
Âge : 17 ans
Crime(s) commis : Meurtre avec préméditation
Côté coeur : Un coeur, ca sert à rien, juste a se le faire transpercer.
Date d'inscription : 20/03/2007

Mariko Hasekawa Empty
MessageSujet: Re: Mariko Hasekawa   Mariko Hasekawa Icon_minitimeMar 10 Avr - 0:23

Oyo! J'adore ta fiche (ouais je dis tout le temps ça ><) bref, c'est un peu balow de se retrouver en prison pour un singe. Soit, pauvre Mariko, au milieu des dingues et des tueurs XD

Aki: Bon t'abrege! è_é

Ouais roh ca va! Personnage de mes deux ><

Fiche Validée!
Revenir en haut Aller en bas
https://atonoketsueki.1fr1.net
 
Mariko Hasekawa
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ato no Ketsueki :: Hors RPG :: Fiche de personnage :: Fiches validées-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser